Tristesse des attaques …
À l’écoute des nouvelles
L’artiste sent des inconforts
Tristesses de tous acabits
Venues d’ailleurs
Les réjouissances nationales
Du quatorze juillet
Dans le sud de la France
Ont mal tourné
Ces enfants ont vécu l’horreur
Petites vies innocentes
Disparues dans le carnage
D’un camion fou fonçant
Dans la foule
Pères et mères affolés
Couraient dans la rue…..
La fête abrégée
S’acheva
En chaos larmes
Et chagrins à vie…
À Bruxelles le vingt et un juillet
On avait craint des bombes
Le courage est sorti
Les temps étaient moins
À l’insouciance
Ou à la fête
Qui dérangeait d’autres
Sans enfant qui vengaient
Leur Histoire blessée
Pourquoi la vie exige-t-elle tant …?
Et combien l’âme soupire sans fin….
Pourtant l’être humain
Gardera toujours goût au voyage
En solitaire ou en groupe
Pour la joie de parcourir le globe….
Cécile Comblen /26.08.2016